L'ankh, autrement appelée croix ansée,est dans l'Egypte antique le symbole des Dieux et des rois. Il a pour forme un "T" surmonté d'une boucle. Il est aussi nommé "noeud d'Isis" car, pour les Egyptiens cette boucle figure l'arbre de l'énergie vitale identifiée à Isis. Il rappelle aussi que l'accession à la divinité acquise ou souhaitée s'accomplit par le dénouement des noeuds, cet acte au sens figuré entraînant au sens propre le "dénouement" d'une évolution d'âme.
On retrouve l'ankh dans les mains d'Akhenaton et dans celles de la plupart des prêtres du culte solaire.Tenue par l'anse durant les cérémonies funéraires, cette croix particulière était considérée comme la clef ouvrant la vie éternelle et fermant les zones interdites aux profanes. Parfois, elle était dessinée sur le front, entre les deux yeux, représentant l'obligation du secret pour le nouvel initié. Celui qui connait les mystères de l'au dela ne doit les révéler à personne sous peine de les oublier.
Pour leur part, les Coptes considéraient l'ankh comme la clef de l'éternité.
On retrouve la croix ansée chez les Indiens en tant que représentation de l'union des principes actif et passif, et donc des deux symboles sexuels, rassemblés ainsi dans une entité androgyne.
Source: l'encyclopédie du savoir relatif et absolu.
On retrouve l'ankh dans les mains d'Akhenaton et dans celles de la plupart des prêtres du culte solaire.Tenue par l'anse durant les cérémonies funéraires, cette croix particulière était considérée comme la clef ouvrant la vie éternelle et fermant les zones interdites aux profanes. Parfois, elle était dessinée sur le front, entre les deux yeux, représentant l'obligation du secret pour le nouvel initié. Celui qui connait les mystères de l'au dela ne doit les révéler à personne sous peine de les oublier.
Pour leur part, les Coptes considéraient l'ankh comme la clef de l'éternité.
On retrouve la croix ansée chez les Indiens en tant que représentation de l'union des principes actif et passif, et donc des deux symboles sexuels, rassemblés ainsi dans une entité androgyne.
Source: l'encyclopédie du savoir relatif et absolu.