BudoSpirit

Budo Way of Life

Mercredi 9 janvier 2008 à 23:21

Si c'est un 6ème dan qui vous dit qu'il ne faut pas tendre les bras en randori alors PEUT ETRE allez vous comprendre!!!!!

Mercredi 9 janvier 2008 à 23:14

Voici une vidéo illustrant l'un des principes fondamentaux du Judo: seiryoku zenio qui signifie la meilleure utilisation de l'énergie. Admirez et vous approuverez car rien n'est plus jouissif qu'une projection dans le temps, sans gaspillage inutile de son énergie.

P.S: bien sûr ce message ne vise personne, sauf ceux qui se sentent visés....

Mercredi 9 janvier 2008 à 23:04

Mercredi 9 janvier 2008 à 20:46

Histoire du monastère et des moines de Shaolin:


Le monastère de Shaolin est situé au c½ur de la Chine, dans la province du Hénan, sur le Mont Song (Songshan), l'une des cinq montagnes sacrées de la Chine. Shaolin signifie « petite forêt ».

Le monastère fut construit en 495 de notre ère par Batuo, un moine indien, avec l'assistance de l'empereur Xiaowen des Wei du Nord (386-534), une dynastie qui propagea le bouddhisme en Chine. Mais la renommée du monastère est due à un autre moine indien, grand prédicateur, Bodhidharma, qui vint en Chine en 527 et s'installa à Shaolin. Bodhidharma se rattachait à l'école bouddhiste du Mahayana (Grand Véhicule) du Nord de l'Inde, et fut le fondateur du bouddhisme chinois Chan, qui deviendra le Zen au Japon, école de méditation qui cherche à retrouver l'essence universelle considérée à la fois comme principe de toute existence et de toute bodhéité. On raconte que parvenu au Monastère Shaolin, Bodhidharma resta neuf ans en méditation face à un mur, pour abstraire l'idée du monde extérieur. Et la légende lui prête l'invention du Wushu : les moines passant de longues heures à méditer immobiles avaient besoin d'exercice à la fois pour fortifier leur corps et leur faculté de concentration. Il y introduisit l'idée que les Arts Martiaux visaient au développement harmonieux de l'esprit et du corps. Il mit au point le Xingyiquan, boxe de la forme et de la volonté qui serait l'ancêtre du Wushu maintenant divisé en de nombreuses écoles.


Cette technique fut, à l'origine, secrète : les moines craignaient qu'on l'utilise à de mauvaises fins. Elle fut d'ailleurs vite détournée ; au début des Tang les moines de Shaolin se rendirent célèbres en apportant leur concours à l'empereur Taizong (règne 627-649) au moment où il fonda sa dynastie (cet épisode est dépeint sur une fresque de période Qing du monastère). Shaolin abrita ainsi jusqu'à 5000 moines guerriers, en fait un bataillon impérial, souvent utilisé dans les luttes intestines. La Boxe de Shaolin se répandit alors et vécut un âge d'or de plusieurs siècles, des Song aux Qing (960-1911) quand elle devint un art d'attaque et de défense.



Aujourd'hui les arts martiaux se divisent généralement en trois catégories : la boxe ou exercices à mains nues, les exercices avec armes et les exercices de combat. Il semble évident que les moines ne les pratiquaient pas tous mais se spécialisaient seulement dans une ou deux disciplines. Il en est de même aujourd'hui.



Détruit partiellement à plusieurs reprises, abandonné, incendié par les Mandchous, le Temple de Shaolin fut chaque fois restauré. Peu à peu, sa renommée s'étendit à toute la Chine. Douze empereurs y vinrent en pèlerinage. Les moines devinrent des personnages légendaires.

En 1928, le Temple fut incendié par les gardes rouges. La plupart des moines s'enfuirent à travers le pays. Seuls quelques-uns survécurent dans les ruines. Les manuscrits avaient brûlé mais grâce à la tradition orale, l'esprit de Shaolin fut sauvegardé. A la fin des années 70, le monastère fut rebâti dans toute la splendeur que l'on peut admirer aujourd'hui. Les moines reconquirent leur temple et ses terres environnantes. Les plus âgés furent très recherchés afin de perpétuer les rites anciens.

Aujourd'hui, une centaine de moines vivent dans le Monastère dont 80 moines contemplatifs et 30 moines combattants. Ce qui est bien peu par rapport aux 1500 moines qui y vivaient à l'apogée du Temple.

Plus de 1200 adeptes de tous âges, désireux d'acquérir un enseignement spirituel et physique, sont initiés par des maîtres aux secrets du combat et à la religion bouddhiste et taoïste. Bien sûr, tous ne deviendront pas moines, mais le diplôme chinois d'Arts Martiaux qui sanctionne leur enseignement - le meilleur du pays - leur permet de professer à leur tour dans les académies chinoises de kung-fu, de devenir garde du corps ou encore membre d'une troupe de parade. Ils deviennent l'élite du pays et toutes les portes s'ouvrent devant les jeunes diplômés.

Le Monastère de Shaolin, lieu magique et mystérieux, est visité par plus de 2 millions de touristes par an. Ils génèrent autour du Temple de Shaolin une industrie du souvenir prospère. Ils peuvent y admirer les fresques retraçant l'histoire mouvementée du Temple, la Forêt aux Pagodes où les élèves dressaient des monuments à la mémoire de leurs défunts maîtres.

L'esprit Shaolin:

_Un bon soldat n'est pas violent.
_Un bon combattant n'est pas furieux.
_Un bon vainqueur n'est pas vengeur.

Tao-Te Ching

Lao-Tseu résume l'art de Shaolin ainsi :


L'homme vient au monde tendre et souple ; à sa mort, il est dur et figé. Les plantes fraîches sont délicates et pleines de vie ; mortes, elles sont rêches et desséchées. Le figé et l'inflexible sont l'élève de la mort, tandis que le doux et souple sont l'élève de la vie. Une armée qui ne sait pas s'adapter ne remporte jamais une bataille. Un arbre qui ne plie pas se brise facilement. Ce qui est dur et fort périra ; ce qui est doux et faible durera.

Le kung-fu demande un entraînement de chaque instant ; celui qui veut apprendre doit s'y consacrer pleinement.

"Si tu veux atteindre quelque chose, ton esprit, tes yeux, tes mains, ton corps doivent le vouloir, c'est-à-dire que chaque partie de ton esprit et de ton corps doit se concentrer sur le but à atteindre. Si une seule partie de ton corps fait un faux mouvement, tout l'exercice est raté."

Mardi 8 janvier 2008 à 23:13


Historique

Il est acquis que la Capoeira fut élaborée par les esclaves noirs amenés par les Portugais dans leur colonie du Brésil ; ces esclaves étaient vraisemblablement des Soudanais du Libéria, du Nigeria, de Côte d'Or, du Bénin et de Guinée, et des Bantu d'Angola, du Congo et du Mozambique. En 1889, Beaurepaire-Rohan parle au sujet de la Capoeira d'une "sorte de jeu athlétique importé par les Africains". Bien plus tard, en 1960, le portugais Albano de Neves e Souza écrit : "Parmi les Mucupe du sud de l'Angola, il existe une danse du zèbre, la n'golo... La n'golo est la capoeira." Le congolais K. Kia Bunseki Fu-Kia propose un autre ancêtre : "Kipura, dans le contexte culturel du Congo, est... un individu dont les techniques de combat ou de lutte sont basées ou développées sur les techniques de combat des coqs..."

La Capoeira se serait pour certains développée dans les régions rurales du Brésil. Selon le journaliste Augusto Ferreira, elle serait née d'un "brûlant désir pour la liberté" et se serait structurée comme méthode de combat dans les quilombos, des villages bâtis hors des villes par des esclaves en fuite (Journal of Capoeira, 1968). D'autres pensent au contraire qu'elle est d'origine urbaine. Brasil Gerson note dans Histoire des rues de Rio de Janeiro qu'il y avait dans la rue Rua da Praia de D. Manoel, un grand marché aux oiseaux, où convergeaient les esclaves portant les poules sur leur tête dans des "capoeira" (panier). Selon Gerson, la Capoeira "était née des passe-temps des esclaves sur ce marché". Cette hypothèse fut par la suite adoptée par le linguiste brésilien Antenor Nascentes, qui écrivit : "Le esclaves qui venaient vendre sur le marché des capoeiras de poules se distrayaient en jouant à la capoeira, en attendant l'ouverture du marché. Comme une métonymie res pro persona, le nom de la chose passa à la personne qui lui était liée."

Le sociologue Waldeloir Rego, dans son Capoeira Angola (1968), donne son avis sur la question : "Ma thèse est que la capoeira fut créée au Brésil, à partir d'une série de mouvements et de rythmes communs à tous ceux qui la pratiquaient... Soucieux de son amélioration, ses inventeurs et leurs descendants la modifièrent en y introduisant de nouveaux mouvements et toques [rythmes du berimbau]- en en transformant certains et en en supprimant d'autres... Ce processus se fit dans le temps et parallèlement au développement social et économique de la communauté qui pratiquait la capoeira, reléguant ainsi beaucoup de mouvements et de rythmes au royaume de l'oubli."

Selon Nestor Capoeira (Fundamentos da Malicia, 1992), "les combats, les danses, les rythmes et les instruments de musique de différentes ethnies africaines ne fusionnèrent pas pour 'échapper aux interdits ou tromper les seigneurs blancs' ; cette synthèse se fit, après 1830, en accord avec une tendance générale de la communauté noire à substituer au combat armé, impossible à gagner, la conquête de l'espace et du territoire à travers la culture. Et le jeu de la capoeira n'eut pas un centre de dispersion exclusif mais proliféra spontanément sous différents formats et en divers endroits, matérialisant au Brésil, entre 1830 et 1930, un certain archétype existant dans l'inconscient collectif noire."

La Capoeira prit au cours de son histoire diverses formes, qu'on connaissaient sous les noms de Vadiaçao (qui fait référence aux notions de jouer, de ne rien faire), Malandragem (qui fait référence aux activités des vagabonds, à la ruse, à la fourberie), Capoeiragem, ou tout simplement Capoeira. Selon des rapports de police et divers chroniqueurs, des capoeiristas était en effet parfois impliquée dans des activités criminelles ou des incivilités. Il est en tout cas certain que la Capoeira fut un moyen de survie pour les esclaves, les noirs libres et des vagabonds.

A Rio de Janeiro et à Recife, les capoeiristas se regroupaient en bandes nommées maltas, qui s'affrontaient en de sanglants combats lors des festivités religieuses ou des rassemblements politiques, au grand mécontentement de la population. A Bahia, ces regroupements étaient beaucoup plus rares. Cela s'explique peut-être par les différentes influences que subirent les formes de Capoeira selon la zone géographique. On pense par exemple que la Capoeira de Rio de Janeiro reçut l'influence culturelle de l'Europe ; l'historien Melo de Morais Filho, à la fin du 18e siècle, l'associa ainsi à des pratiques athlétiques telles que la Savate française, le Jogo do Pau, la boxe anglaise ou même l'aviron !

En 1889, un an après l'abolition de l'esclavagisme, le Brésil obtint son indépendance. Les dernières années de la monarchies furent marquées par des conflits opposant républicains et monarchistes. Ces derniers, pour protéger la reine Isabelle, créèrent une Garde Noire (guarda negra) chargée de sa protection ; cette garde, composée de noirs et de mûlatres dévoués à la reine qui avait abolit l'esclavage, luttèrent contre les républicains jusqu'à la fin de la Monarchie.

On peut supposer que certains des membres de la Garde Noire pratiquaient la Capoeira, ce qui ne fut pas sans renforcer la volonté des républicains de mettre un terme aux activités des capoeiristas. L'article 402 du nouveau code pénal était le suivant : "Pour avoir effectué dans les rue ou sur les places publiques des exercices d'agilité et de dextérité corporelle connus sous le nom de Capoeiragem; pour courir avec des armes ou des instruments capables d'infliger des blessures corporelles, pour provoquer du tumulte, effrayer les personnes,ou inciter la peur ou les mauvaises actions; Sentence - emprisonnement pendant deux à six mois."

La Capoeira de Bahia émergea à cette époque. Elle se caractérisait par ses aspects spirituels : accompagnement de chansons aux mélodies et paroles africaines, goût du jeu et de la théâtralité. Cette évolution était peut-être due à une tendance à dissimuler les aspects les plus guerriers, soumis à la répression policière, de cet art. On sait en effet que de grands capoeiristas commencèrent à éviter les exhibitions de rue trop voyantes.

Manuel dos Reis Machado, dit Bimba (1889-1974) était une figure de la Capoeira. Il prônait une pratique dure, et n'hésitait pas à défier ses contemporains. En 1936, il inscrivit officiellement son école de Capoeira, la Centro de Cultura Fisica Regional, au Bureau de l'Education, de la Santé et de l'Assistance Publique de Bahia, ce qui oeuvra en faveur d'une plus grande tolérance envers les modes d'expression afro-brésiliens. Le style de Bimba devint peu à peu connu sous le nom de Capoeira Regional. Il se caractérisait par un entraînement qui s'appuyait sur un programme d'enseignement et des méthodes bien définis, et qui s'effectuait au sein d'une école close.

Suivant l'exemple de Bimba, Vicente Joaquim Ferreira Pastinha fonda en 1941 le Centro Esportivo de Capoeira Angola, qui fut officiellement établi en 1952 à Largo do Pelourinho. Avec la Capoeira Regional, la Capoeira Angola devint un style majeur de Capoeira.

Styles


Régional


Style artistique, faisant la part belle aux prouesses athlétiques. Le meneur du roda (mestre) rythme les échanges en jouant d'un instrument de musique, le berimbau, accompagné de deux pratiquants à sa gauche et à sa droite qui jouent des pandeiros (tambourins) et des autres membres du roda qui frappent des mains. La Chula est la chanson que tous entonnent au début ; elle est suivie de la Quadra et de la Corrido. Le rythme, d'abord lent, s'accélère de plus en plus. Il ne doit pas y avoir d'interruption entre les combats ; lorsque deux jogadors quittent le roda, deux autres doivent y entrer. Un capoeirista qui souhaite en remplacer un autre doit entrer dans le cercle, attendre le consentement du mestre, placer ses bras entre les deux combattants et regarder celui avec lequel il veut jouter ; l'autre quitte aussitôt le cercle.

Bimba ajouta à son style des techniques de Jujitsu, de savate et de lutte africaine, dont son père était maître au Brésil.


Angola

Style dur, plus proche des origines africaines. L'accent est mis sur le combat et la théâtralité, les rituels, la stratégie. On le voit rarement lors des manifestations publiques, car il est peu spectaculaire. On utilise trois berimbaus (Gunga, Medio, Viola), accompagnés de deux pandeiros, d'un atabaque (gros tambour) et parfois d'un agogo (triangle). Contrairement à ce qui se passe en Régional, le rythme reste lent.


Iuna

Style totalement artistique, où les capoeiristes jouent plus ensemble dans la ronda qu'ils ne luttent.

Technique

Deux Capoeiristas ou jogadors (joueurs), habillés d'un abada (pantalon blanc) tenu par une corda (ceinture qui porte le grande du pratiquant), se livrent à des échanges (on parle de jogo, "jeu") dans un cercle (roda). L'accent est mis sur la jetinho (improvisation), ainsi que sur l'utilisation de la malendragen (ruse) et le axe (énergie interne).

Les techniques sont très acrobatiques, essentiellement exécutées avec les jambes, dont l'usage intensif est peu-être du à l'impossibilité qu'avaient les esclaves d'utiliser les mains entravées par les chaînes et les liens. On essaye de déséquilibrer l'adversaire ou de le faire chuter. On attaque avec des coups de pieds, et on défend en esquivant. Les poings servent surtout de balanciers, et éventuellement pour porter des attaques.

On ne reste jamais immobile en Capoeira ; pour cela on se sert entre chaque technique d'un mouvement nommé ginga, qui consiste à se déplacement continuellement en prenant appui alternativement sur une jambe puis sur l'autre, le corps penché en avant.

En Régional, les coups de pieds sont exécutés principalement au niveaux de la tête ou du buste. Les seules parties du corps qui devraient toucher le sol sont les mains, les pieds et la tête. Des coups de pieds comme Martelo ou Gancho sont strictement du style Régional. Les nombreuses acrobaties tels que les sauts périlleux ou les roues rendent ce style impressionnant. En Angola, on évite les coups de pieds hauts, visant plutôt la taille ou même plus bas.

Les principales techniques sont :

Les déplacements : Ginga (le déplacement de base, en portant alternativement le poids du corps d'une jambe à l'autre), Macao (roue vers l'arrière), Queda de Rins (roue vers l'arrière, tête contre sol), Au (la roue, qui s'effectue de plusieurs façons), Rolê (roulade sur le côté).


Les coups de face (Golpes de frente) : Meia Lua (le pied qui se trouve en retrait lors de la Ginga part de l'extérieur en arc de cercle pour venir fraper la tête de l'adversaire), Quechada (Queixada, l'inverse de Meia Lua, le pied partant de l'interieur), Bença (coup de talon direct au visage), Chapa ou Escorao (coup de pied en piston pénétrant), Bençao (coup de pied direct pénétrant), Machadinha (coup de talon circulaire), Ponteiro (coup de pied direct à l'abdomen), Martelo (coup de pied fouetté donné en fléchissant préalablement la jambe sur le côté), Martelo Rotado (Martelo poursuivi dans l'élan d'une rotation sur soi-même), Armada (mélange de Meia Lua de Compaço et Queixada), Boça de Calca (feinter un coup de tête dans l'abdomen et en profiter pour saisir le bas de l'abada afin de renverser son adversaire), Cabesada (coup de tête dans l'abdomen), Rasteira (balayage), S-Dobrado (coup de pied donné dans un mouvement en forme de S), Escorpiao (ruade retournée), Vincativa (barrage d'une jambe de l'adversaire pour le faire chuter en le poussant), Tesoura (ciseaux aux jambes de l'adversaire pour le faire chuter).


Les coups de dos (Golpes de costas) : Chapa de Costas ou Pison (de dos à l'adversaire, on vient frapper son visage avec le talon et on prend appui au sol avec les mains), Meia Lua de Compaço ou Rabo de Arraia (le talon vient frapper le visage de l'adversaire après un tour pendant lequel on vient poser la main par terre pour prendre appui), Meia Lua Solta (on ne pose pas la main au sol), Chapa Solta (se donne du pied qui à permis le saut).

Les esquives (Esquivas) : Cucurinha (on s'abaisse à genoux et on pose une main au sol, l'autre en protection devant le visage), Queda de Tres (variante angolaise de la Cucurinha), Queda de Quatro (Queda de Tres avec les jambes tendues), Negativa (on s'abaisse horizontalement, une jambe est tendue en direction de l'adversaire, les deux mains sont au sol), Esquiva Para Tras (esquive de coté, la main qui se trouve du côté où part le corps se posant au sol, l'autre protégeant le visage), Crus (on esquive la jambe en s'abaissant en avant et on la bloque sur son dos, puis on fais chuter l'adversaire en se relevant).

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